Charlus est donc notre quatrième chien en vingt ans : aucun avant lui n'a jamais eu cette curieuse façon de dîner couché, les deux pattes avant encadrant la gamelle de croquettes. La terminaison en “us” de son nouveau nom l'aurait-elle enclin à se prendre pour un patricien de Rome ?
Rajout du lendemain : Nicolas, en commentaire, me signale ma grosse bévue, imputable sans doute au grand âge ; Charlus n'est pas notre quatrième mais bien cinquième chien ! Les précédents furent, dans l'ordre de leur arrivée, Balbec, Swann, Bergotte et Elstir.
Rajout du lendemain : Nicolas, en commentaire, me signale ma grosse bévue, imputable sans doute au grand âge ; Charlus n'est pas notre quatrième mais bien cinquième chien ! Les précédents furent, dans l'ordre de leur arrivée, Balbec, Swann, Bergotte et Elstir.
Le quatrième ? J'en ai connu trois, plus celui-ci, mais il n'y en avait pas un avant (avant Swann, donc, si ma mémoire est bonne) ? (j'ai oublié le nom mais vous en avez parlé plusieurs fois dans le blog)
RépondreSupprimerDamned ! Me voilà gâteux au point de ne plus savoir combien j'ai eu de cadors ! Je vais rectifier dans le billet…
RépondreSupprimerRappelez donc moi le nom du premier.
RépondreSupprimerBalbec (je viens de faire la mise au point dans le billet même).
RépondreSupprimerLes jeunes chiens en pleine croissance sont quelquefois gênés (et quelquefois ils ont mal) quand leur gamelle est au ras du sol. Ce la les oblige à écarter les pattes et risque de les déformer car leur cartilage n'est pas encore ossifié. On recommande de surélever la gamelle pour qu'ils puissent manger debout et garder les pattes verticales.
RépondreSupprimerExact. Merci de l'avoir signalé.
SupprimerUn cocker romain.c'est pas commun.
RépondreSupprimerle mien de chien, beaucoup plus gros adopte la même position souvent pour boire, lui.
Ils ont tous des tocs ces clébards.