Golo ne me quitte pas. Je lis dans le canapé, il se faufile sous la couette. Je blogue, il se love dans mon cou. Je change de pièce, il me suit. Pour l'instant, quand je sors dans le jardin il me regarde sans oser s'y aventurer, mais la curiosité sera la plus forte. Bientôt.
Un chat comme tu le souhaitais ! Bien collant ! XX
RépondreSupprimerPour aller avec le livre, on aurait dû l'appeler Mouchette…
RépondreSupprimerDonc il sait où est cachée la bouteille de Whisky de Don Ricardo Pastaga ?
RépondreSupprimerNicolas, oui ; )
RépondreSupprimerDidier c'est trop tard !
Nat, pourvu que ça dure.
persistant réflexe de parler de Golo au masculin ...
RépondreSupprimerAh oui, on a du mal à basculer en mode féminin, c'est vrai !
RépondreSupprimerGolo? Golette, plutôt!
RépondreSupprimerEn tout cas, elle a de bonnes lectures...
C'est drôle, c'est ri-golo, devrais-je dire, tu en parles au masculin.
RépondreSupprimerAh oui, et en plus je lui dis "petit bonhomme" ! Tant pis, "elle" ne sait pas faire la différence…
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