mardi 26 janvier 2010

À la fin, l'ombre gagne...

C'est tout le problème, avec le vedettariat brutal : presque aussitôt qu'il est connu, la zizanie s'installe dans la meute, les petits veulent bouffer les gros pour prendre leur place, les hiérarchies se brouillent, bref : c'est le socialisme, donc le bordel dans la niche. Face à l'extrême violence des échanges en milieu canin, les humains eux-mêmes se font ombres, avec une prudence que l'on peut comprendre mais qui ne les honore guère. Malgré tout, à la fin de l'émeute, c'est tout de même l'Irremplaçable qui gagne – en sonnant la cloche de la gamelle.

(Note pour les inquiets : si Bergotte n'apparaît pas sur la photo, ce n'est nullement que les deux mâles l'aient massacrée en premier mais parce que, s'étant déjà tapé plus d'une heure d'agility, elle est restée tranquillement à la maison. Au plus près de la gamelle, justement.)

3 commentaires:

  1. Putain ! Qu'est-ce que le socialisme vient foutre dans ce bordel organisé !

    Et pour la bière, il y a une cloche spéciale ?

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  2. Ah ! ils sont organisés les socialistes ???!!!
    L'appel du ventre... mène aux concessions.

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  3. Et pour l'appel à la vodka, on balance un verre par terre ? ok, je sors...

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